Après une ultime discussion avec lui, je me suis aussi aperçu qu'il enviait un peu ses sœurs qui font encore l'instruction en famille et pour autant, il ne souhaite pas revenir en ief pour le moment.
Bref, son cœur balance et ne sachant pas quelle voie choisir, j'ai pris la décision de faire du co-schooling avec lui à partir de la semaine prochaine afin de ne pas voir ses notes fondre comme neige au soleil.
J'avoue que cette idée ne m'enchante pas car entre l'instruction de mes filles et mon travail, je n'ai presque plus de temps pour dormir. ^^
J'avoue aussi qu'en le scolarisant dans un collège privé, j'avais imaginé ne pas avoir à faire un jour du co-schooling avec lui mais il faut se rendre à l'évidence, mon fils ne s'adaptera jamais au cours basique puisque j'ai vécu exactement la même chose avec lui quand il était en primaire et au collège, j'étais exactement comme mon fils.
Par conséquent, le co-schooling est comme une évidence pour son cas.
Il faut que je l'aide à mettre sur papier toutes ses idées puisque sa lacune est à l'écrit.
Je vais devoir reprendre tous ses cours, les revoir avec lui pour certains mais en optant pour une méthode plus ludique puis les transformer pour les autres en carte de mémorisation.
Pour les langues, je vais lui donner une place de pédagogue en lui proposant d'enseigner à ses sœurs ses langues afin qu'en instruisant, ils réapprennent. (le jeu de la maîtresse est une méthode qui fonctionne plutôt bien pour mémoriser).
Je sais que faire du co-schooling va me prendre un temps fou mais c'est mon rôle de parent d'aider mon enfant.
Mais je me demande tout de même comment font les parents qui ne travaillent pas de chez eux pour pouvoir aider des enfants qui sont comme mon fils à ne pas rester sur leurs acquis et à ne pas s'ennuyer en classe.
Ps : je n'accepterais aucun commentaire désobligeant envers les professeurs de mon fils, ils font de leur mieux, je pense, pour produire des cours motivant avec les moyens et le temps qu'ils ont.
Ps1 : oui il est suspecté d'être un enfant précoce comme sa petite sœur (qui elle est testée) et je songe à demander à le faire tester directement via la psy scolaire de son établissement.